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Julien rigault |
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Informations du 2023-12-05 03:14 |
Informations personnelles
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Informations sur le navire
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Historique du commandant
Jeune capitaine normand qui a rejoint le général de Gaulle après avoir entendu parlé de son appel dans son petit village côtier.
Après une traversée de la manche périlleuse sur une petite chaloupe, il s'engagea dans les FNFL et fit la connaissance de plusieurs capitaine fraîchement engagé avec qui il se lia d'amitié.
Ensemble, ils furent affectés à la force raide atlantique.
Une fois avoir rejoins Alger, sont nouveau port d'attache, il reçut le commandement d'un petit patrouilleur type vtb-10.
C'est sous les ordres d'Albert Giba et accompagné de ses compagnons qu'il prit la mer et vogua vers ses premiers faits d'armes dans cette guerre pour reconquérir sa patrie chérie.
Grâce à la bonne tenue de son équipage lors de sa première mission de guerre au large de Toulon, le capitaine Rigault fut promu commandant du torpilleur Le Normand nouvellement arrivé a Alger.
Après le ravitaillement au port de son navire et les derniers préparatifs administratifs, le jeune capitaine, repris la mer chargée à bloc et prêt à en découdre.
Pour sa troisième mission de guerre aux commandes de son tout nouveau torpilleur, le capitaine Rigault vogua au large de la côte italienne avec le reste de sa flottille.
Avant de rejoindre leurs zones d'opérations, une partie de la flottille croisa au large de Marseille ou le torpilleur Le Normand réussi à couler le croiseur allemand l'Elbe avant de mettre le cap des côtes italiennes.
La mission était simple, bloquée les entrés des ports de la Spezia et de Gênes.
Une force navale Italienne tenta de les repoussés en vain.
Lors des différents combats Le Normand coula les destroyers Augustus et Bolzano.
Cela fait déjà quelques mois que le capitaine Rigault était à Alger à la Raid.
Après plusieurs missions, il avait enfin pu atteindre son Graal et commandé un destroyer Mogador.
À peine eu le temps de se familiariser avec le nouveau navire que les ordres du pacha tombèrent.
Ordres a toute la flottille de faire mouvement vers Tunis.
Le capitaine répercuta l'ordre sur son équipage, fit le plein des soutes et appareilla avec la confiance et l'enthousiasme des jeunes capitaines.
À mi-parcours, des éclaireurs de la flottille ainsi que des message des alliés anglais fit état de la présence de la Borghèse et de la GDH en face d'eux. Une longue période d'attente s'installa ou chaque flottille ennemie se jaugea par des manœuvres, mais sans combat d'envergures.
La tension monta d'un cran chaque jour, jusqu'à ce que l'ordre tomba tant attendu tomba sur les ondes.
Ordres à tous les navires d'attaquer la force ennemis en face.
N'y tenant plus le capitaine du Conquérant sonna le branle-bas de combat.
Il donna l'ordre d'avance à Vive allure vers les navires les plus proche, deux croiseurs et un cuirassé. Estimant la distance correcte pour ouvrir le feu, il fit réduire la vitesse et donna l'ordre d'engagé le croiseur roumain a ses canonniers.
Trois tirs partis des canons du destroyer, trois coups qui finirent a l'eau. Le capitaine enragé face à l'échec de ses artilleurs incendia l'officier de tir lorsque une secousse lui fit perdre l'équilibre, puis une deuxième.
Le second viens le relevé et lui cria : nous sommes pris sous le feu du croiseur allemand. Admiral Von Pohl et nous sommes touchés à du multiple endroit.
Une large voie d'eau est ouverte au centre sous la ligne de flottaison, le navire et perdu.
La mort dans l'âme, le capitaine donna l'ordre d'abandonner le navire, ce même navire qu'il avait tant rêvé de commander avec lequel il n'eut même pas le temps de vraiment combattre.
Après le sauvetage du capitaine Rigault et de la plupart de ses matelots par le capitaine McKenzie et un retour sans gloire vers Alger, l'amirauté donna une seconde chance au capitaine en lui confiant un second destroyer Mogador.
Voilà un peu plus d'un an que le capitaine Rigault était affecté à la Surveillance de l'Atlantique au large de Dakar avec son ami de toujours le capitaine McKenzie. La garde s'avéra longue et monotone seulement ponctuée par l'attaque de quelques convois ennemis de passage et l'entraînement des artilleurs.
De retour vers Casablanca à la demande, l'amirauté, son ami lui annonça sa volonté d'être muté auprès de l'us Navy.
L'amirauté cherchée des volontaires pour représenter la France libre auprès des États-Unis pour renforcer les liens d'amitié et relation plus que tiède avec le géant Américain. Kenneth avait sauté sur l'occasion pour naviguer vers de nouvelles aventures.
À l'annonce de son collègue, le capitaine Rigault ne réfléchit pas et alla directement ce porté lui aussi volontaire et déposa sa demande d'affection pour l'us Navy auprès des officiers des FNFL.